Yaoï no Kyokô

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 Yao-hu ?

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Alrisha
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Alrisha


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MessageSujet: Yao-hu ?   Yao-hu ? Icon_minitimeMer 30 Mai 2007 - 16:20

Récemment, un ami m'a posé une question à laquelle j'étais bien en peine de répondre, à savoir

"Mais enfin pourquoi il y a des filles qui se passionnent pour le yaoi ? Qu'est ce qui leur plaît dedans ?"

Donc forcément, eh ben... Je n'ai rien *contre* le yaoi, mais n'étant pas fan, j'ai pas su quoi lui répondre... et je suis restée coite (ou coi-coi-te si on inclue les cris du corbeau à la Nicky Larson qui est passé au dessus de la tête à ce moment).

J'ai avancé l'hypothèse bancale que c'était tout simplement une branche des mangas (ou rpg) de love-stories, mais bon j'ai pu remarquer que beaucoup de yaoistes n'accrochent pas plus que ça aux mangas (ou rpg) où les relations ne sont pas yaoi. Donc je ne sais pas, une approche différente des relations ? (oui, mais en quoi ? éclairez donc ma lanterne)

Donc autant s'adresser au public en question, tant consommateur que producteur de yaoi ^^ mais, il ne s'agit pas de dire pourquoi tel ou tel manga yaoi est bien, mais d'expliquer pourquoi le yaoi en lui-même plaît, ce que vous aimez dedans !
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https://www.youtube.com/watch?v=Cugx9kttPwU
Freyja
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Freyja


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MessageSujet: Re: Yao-hu ?   Yao-hu ? Icon_minitimeMer 30 Mai 2007 - 18:25

Je ne sais moi-même pas trop pourquoi j'aime ça. En général, quand j'aime quelque chose, je me pose pas la question de savoir pourquoi je l'aime. Mais j'ai un article intéressat qui peut peut-être apporté des éléments de réponses que voici:

Yaoi, Yuri, manga gay

Des filles qui aiment les filles? C'est toujours plaisant dans les films X et c'est l'un des plus grands fantasmes masculins. Du coup, des hommes qui aiment les hommes, ça ne pouvait que plaire aux filles japonaises.

Eh oui, les mangas destinés aux femmes mettent souvent en scène des relations homosexuelles entre hommes. Ces bandes dessinées sont nommées YAOIn acronyme pour YAma nashi, Ochi nashi, Imi nashi -"aucune acmé, aucun sujet, aucun sens"-, ce qui suggère bien que tout les prétextes sont bons pour dessiner des relations sexuelles. Le terme apparaît à la fin des années 70 dans les milieux amateurs de manga de la région de Kanazawa. Il existe une autre version de cet acronyme: YAmete, Oshiri ga Itai! ("Arrête, j'ai mal au cul!"). Sans commentaire. Ce genre de relation entre hommes apparaît surtout dans les récits faits par les fans (fan fictions) et dans les mangas amateurs (dôjinshi) qui parodient volontiers les grands succès commerciaux. A une époque, il existait beaucoup de versions homoérotiques des Chevaliers Du Zodiaque (Saint Seiya) et d'Olive et Tom (Captain Tsubasa). Actuellement on trouve plus facilement des versions parodiques de Gundam W, Yû Yû Hakusho, Yu-Gi-oh! ou Hunter X Hunter. En bref, rien n'est épargné par la parodie yaoi. N'importe quelle série où apparaissent deux copains peut se transformer en histoire de cul. Plus encore, n'importe quelle série télévisée ou film peut se transformer en yaoi, ou, devrait-on dire, en slash. Ce terme anglais désigne les parodies de séries à succès où les personnages principaux n'ont pas que des relations amicales. Ainsi le capitaine Kirk et Spock partageraient plus que des couloirs de l'Entreprise dans Star Trek. En fait, peu importe la série initiale. Il suffit pour cela qu'il y ait deux personnages masculins ayant une relation amicale. Au hasard, Harry Potter et Ron Weasley.
En clair, le yaoi n'est initialement qu'une version japonaise en manga de ce que les fans américains créaient dans leur délire parodique. Toutefois, l'influence du milieu amateur n'explique pas complètement pourquoi le yaoi peut décrire des relations très mélodramatiques et très éloignées de la parodie.
Historiquement, l'intérêt pour les amours homosexuelles naît dans les années 70, lorsque les anciennes lectrices de Prince Saphir (Ribbon no Kishi) de Tezuka prennent la relève. Rappelons que cette BD est à la fois la premièreà s'adresser à un public féminin et la première à mettre en scène une travestie! Au début, les éditeurs employaient des auteurs pour écrire les shôjo. Mais face à la demande grandissante, ils embouchèrent des dessinatrices. Les plus célèbres mangakas femmes de l'époque, Keiko Takemiya, Hagio Moto, Riyoko Ikeda, Ryôko Yamagishi et Yumiko Oshima se regroupent sous le titre Hana no 24-nengumi. Elles révolutionnent l'image du shôjo en mettant en scène des relations homosexuelles. Elles relatent les amours contrariées de jeunes et beaux adolescents d'aspects plus ou moins androgyne. Ce stéréotype de personnage masculin effeminé devient le bishônen, la version féminine étant la bishôjo. D'autres termes peuvent désigner les amours homosexuelles comme June, nom d'une magazine où est publié ce genre de mangas, et BL (Boys'Love), nom d'une collection. Curieusement, au Japon, on parle plus de BL que de bishônen ai pour éviter les risques de confusion avec la pédophilie. Or, les termes BL désignent la pédophilie en anglais...Quand au terme yuri, il désigne les relations lesbiennes. C'est moins courant, mais un mangas comme Utena est une mine pour qui aime les relations entre filles même s'il n'y a pas de scènes explicites. Disons qu'entre les relations saphiques, les viols et les incestes, la série cumule un certain nombre de thèmes sexuels sans montrer trop explicitement les choses.

CELLES QUI PREFERENT LES GAYS

Le premier manga à représenter des amours homosexuelles est Tôma no Shinzô de Hagio Moto. Il est le fondateur de cette tendance du shôjo, appelée bishônen ai, "amour entre jeunes hommes". Les trois volumes de cette série parue en 1973 relatent les hésitations sentimentales d'un lycéen allemand à la fin du 19ème siècle, qui retrouve chez un de ses camarades les traits de son amour perdu. Dans Kaze to ki no uta, paru en 1975, Keiko Takemiya relate elle aussi les amours homosexuelles de lycéens à la fin du 19ème siècle mais place l'intrigue dans le sud de la France. L'éloignement géographique et temporel contribue à la création d'un certain exotisme et semble faciliter la représentation d'un érotisme non hétérosexuel.
Pourquoi les japonaises s'intéressent-elles aux amours entre hommes? Tout simplement car c'est une image idéalisée de l'amour impossible entre deux individus ayant les mêmes status sociaux. Le pays du Soleil Levant est resté assez traditionnel en ce qui concerne les rôles entre hommes et femmes. Celles-ci ont en général un statut inférieur à celui des hommes. Donner à l'un des partenaires du couple l'identité masculine permet aux femmes de s'imaginer posséder des attributs sociaux qu'elles n'ont pas.
D'autre part, les difficultés des héros de yaoi à exprimer ou à accepter leurs sentiments amoureux pour une personne du même sexe refléteraient les problèmes de coeur du public féminin adolescent, cible du shôjo. Placés dans un monde lointain et irréel, décrits de façon plus ou moins idéalisée, ces hommes qui préfèrent les hommes sont des représentatntsvalorisants pour incarner les hésitations amoureuses. Plus les relations sont impossibles, plus cela plaît. Le plaisir réside dans le fait de voir des personnages d'apparence plus ou moins macho -en tout cas masculine- devenir vulnérable et sensibles grâce à l'amour de l'autre.
Les yaoi et bishônen ai ne servent pas à promouvoir la culture gay. Ils ne sont pas une tentative de reconnaissance des amours homosexuelles dans une société qui reste majoritairement homophobe. Ils sont en fait une transposition des interrogations féminines à propos des sentiments amoureux. L'éducation amoureuse des lectrices s'effectue par procuration à travers des figures masculines, car c'est la seule relation sentimentale où les deux partenaires sont "égaux" socialement. Les bishônen sont donc des figures symboliques du désir féminin.
D'ailleurs, on retrouve dans les yaoi et bishônen des relations du genre dominant/dominé qui font écho à la relation homme/femme traditionnelle dans les sociétés patriarcales. Le seme est le partenaire "dominant" et le uke celui qui est "dominé". Le premier à tendance à être le plus âgé, le plus sûr de lui et le plus protecteur. Le second est souvent plus effeminé, plus fragile physiquement. Mais les deux rôles peuvent alterner.

BISHÔNEN A GOGO (DANCER)

Parmi les multiples yaoi et bishônen disponibles en France, il faudrait citer Zetsuai de Minami Ozaki. Publié dans une collection de manga pour filles au Japon (Mangaret Comics), cette BD a été traduite chez les Editions Tonkam. Le succès n'est pas vraiment au rendez-vous. Le public n'était pas tout à fait prêt pour ce genre de relation homosexuelle et ce graphisme très particulier. Le caractère anguleux et l'esthétique légèrement sadomasochiste des dessins d'Ozaki a dérouté plus d'un qu'il n'a attiré les lecteurs. L'intrigue met en scène les amours contrariées d'un footballeur, Takuto Izumi, et d'un chanteur, Kôji Nanjo. L'un devient orphelin suite à un meurtre traumatisant, l'autre est hanté par le regard d'une personne entrevue il y a bien longtemps. Rapidement, il s'avère que Takuto est l'individu recherché par Kôji.
Dans Kizuna, tout débute avec la vie tranquille de Ranmaru, capitaine de l'équipe de Kendo, et Kei, fils illégitime d'un chef de la pègre. Elle est vite perturbée par l'arrivée de Kai (demi-frère de Kei) et du reste de la mafia. Par contre dans New York New York de Marimo Ragawa, on retrouve des thèmes plus directement liés à l'homosexualité. L'un des deux héros est policier aux Etats-Unis et doit cacher ses préférences sexuelles à ses collègues, tandis que l'autre subit le harcèlement d'amoureux éconduits. Dans Fake de Sanami Matô, l'intrigue se déroule dans la même ville, mais dans une ambiance différente. Randy Mclane est une jeune recrue de la police de New York. Il est totalement perturbé par le charme de son nouveau coéquipier, Dee Latener, qui posède un caractère opposé au sien.
Si le secteur du manga pour filles est encore assez peu développé en France, il devrait s'accroître et le yaoi comme le bishônen ai feront partie des rayons de librairie.
Les mangas yaoi et bishônen ai étant généralement traduits en français et les sites internet proposant des planches, l'intérêt pour ce genre particulier est en pleine croissance. Mais il semble qu'il existe un malentendu quand à l'horizon d'attente des yaoi, les Occidentaux ayant tendance à les classer dans la BD érotique pour homosexuels alors que ce n'est pas le public visé. Les yaoi sont majoritairement écrits par des femmes pour des femmes au Japon. La représentation de l'homosexualité dans la bande dessinés pour filles vise ainsi essentiellement à défendre des revendications féminines et à proposer un renouvellement de l'image du genre masculin. On peut dire que l'image de l'homme vulnérable et émotif des yaoi et bishônen ai ont influencé la représentation de l'homme dans le manga en général. Elle a sans doute contribué au "gay boom" du début des années 90. Durant cette période, la communauté gay japonaise a été soudain surmédiatisée.

GAY PARTOUT?

Le résultat de tout cela, c'est une prolifération de jeunes adolescents plus ou moins effeminés dans toutes les séries jusque-là réservées aux publics masculin. Le look "boys band" et l'amitié virile colonisent des séries aussi diverses que Gundam, Get Backers, Saiyuki. Il faut dire que traditionnellement, dans les groupes de inq héros, il y avait déjà un personnage plus efféminé que les autres. C'est le cas de Shun dans Les Chevaliers du Zodiaque, Dai dans Kimengumi, etc. Mais ce qui change actuellement, c'est que presque tous les personnages masculins de shôen possèdent une apparence bishônen, ce qui contribue à rallier le public féminin.
Dans un tout autre style, on trouve de nombreux shônen qui comportent des relations gay sans que cela soit le thème principal. C'est le cas de Banana Fish d'Akimi Yoshida. le personnage principal, Ash Lynx a été abusé sexuellement depuis l'âge de huit ans. il s'alie à Eiji pour venger son frère. Celui-ci est réduit à l'était de légume depuis son séjour au Viêtnam où il a été drogué avec une substance nommé "Banana Fish". Il s'agit plus 'une intrigue de type policière que d'une simple histoire d'amour impossible entre deux hommes.
Bon, mais dans tout ça, comment trouver du vrai porno pour les gays par les gays? Après tout, les tergiversations sentimentales et les quelques scènes explicites dans les manga pour filles ne sont que des apéritifs. Il faut rechercher les images sexuellespour les gays sur le net car peu d'auteurs gays sont actuellement publiés en France. Parmi les artistes gays japonais, on pourrait citer Sadao Hasegawa, Go Fujimoto, Susumu Hirosegawa et Gengorô Tagame. Vous trouverez leurs oeuvres dans des magazines spécialisés comme Barazoku ou Badi. Sabu cible plutôt les sportifs et Samson les amateurs de "bear". Quand à G-Men et SM-Z, ils s'adressent à un public plus friand d'esthétique sado-masochiste.
Contrairement aux figures efféminées qui apparaissent dans les manga pour filles, les personnages de ces bandes dessinées sont plutôt musculeux et les scènes bien plus explicites. A réserver à un public averti. Et comme on n'est pas près de les voir traduits en France, vous n'avez plus qu'à vous mettre au japonais ou améliorer votre anglais.


(Animeland)
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Natth
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Natth


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MessageSujet: Re: Yao-hu ?   Yao-hu ? Icon_minitimeJeu 31 Mai 2007 - 3:40

Hum, je ne vais pas faire un très long message ce soir... Enfin cette nuit... Après une lutte acharnée contre un bug forumique monstrueux, j'ai le cerveau dans les chaussettes @___@

Je vais faire comme d'hab, me contenter de parler de ma longue (?) expérience à la matière. Si, si, quatre ans c'est déjà long ><

Alors pourquoi me suis-je tournée vers le yaoi ? La première chose qui m'a attirée sont les bishos de Tokyo Babylon : Subaru et Seishiro. Ces deux personnages, si opposés par le caractère et pourtant liés par bien des côtés, ont vécu une relation forte mais marquée par les drames. Mais SURTOUT pas assez développée par les mangakas de Clamp ><
Très frustrée par ce manque de développement, j'ai cherché des éléments, des informations sur ce couple si exceptionnel. Il devait bien y en avoir quelque part ! En plus à l'époque les mangas de TB n'étaient plus accessibles en France -__- Et à force de chercher, je suis tombée sur les fanfics yaoi. Là, je peux dire que j'ai trouvé tout ce qui me fallait, surtout que certaines présentent les héros de manière fidèle et crédible ^^

Cet exemple montre en partie pourquoi j'apprécie le yaoi : j'y cherche surtout l'aspect relationnel qui n'est pas assez développé à mon goût dans la plupart des histoires. Le yaoi me paraît aussi plus intéressant que les shojos, car on peut y trouver plus d'histoires d'adultes (pas des minets, des hommes des vrais >< Enfin en papier...).

Mais ce n'est pas tout, sinon ça n'expliquerait pas pourquoi je m'intéresse si peu aux histoires d'amour hétéros. Alors pourquoi des hommes entre eux et pas des hommes et des femmes ? Eh bien, je ne sais pas trop... D'un côté, le yaoi me paraît assez émouvant, dans la mesure où l'on voit des êtres de sexe masculin capables d'exprimer leurs émotions. Même les plus durs se mettent à chouiner d'un seul coup @__@ Bon, je reconnais que là, ce n'est plus très réaliste... Il y a aussi cette notion de protéger l'autre qui me paraît touchante, et ce n'est pas toujours (ou pas seulement) le seme qui le fait. Mais si on regarde bien, on remarquera que ce thème d'avoir quelqu'un à protéger est très présent dans beaucoup de mangas.

Le rapport seme/uke rend peut-être ce thème plus visible. Et là on peut rebondir sur autre chose : je préfère très nettement les persos (hommes ou femmes) qui ont du caractère, et pourtant les ukes innocents et/ou pleurnichards ne me dérangent pas trop (sauf quand c'est très poussé >> ). Un perso fille ayant le même caractère serait beaucoup moins supportable pour moi, surtout si elle se fait constamment sauver par le héros/prince charmant de la série -__-

Mais un homme dans le même cas, ce n'est pas gênant, il me paraît même mignon quand il n'est pas trop nounouille. Sans doute parce que je ne m'identifie pas à un garçon. Par conséquent, je n'ai pas l'impression qu'on me renvoie en pleine figure qu'une femme ne peut être que stupide, sauf dans une cuisine ou avec des gosses, et qu'elle ne peut pas s'en sortir sans un homme.

Après, reste le point de vue esthétique : deux bishos me semblent beaucoup plus agréables à regarder que deux bishojos. En grattant très loin, il y a peut-être l'effet de curiosité. Les femmes hétéros ne sont ni des hommes, ni des homos, c'est une évidence. Il y a donc dans le yaoi deux aspects qu'elles ne connaissent pas. Peut-être ça qui attirent les hommes vers les lesbiennes...

Mais il reste LA raison essentielle, celle que personne ne pourra nier ! Le yaoi on aime ça... parce qu'on aime ça. On pourra donner tous les arguments valables pour expliquer cette passion, les gens qui ne se sentent pas interpellés, touchés par ce qui nous touche ne comprendront pas pourquoi on adore ce genre de manga. On peut expliquer ce qui nous plait dedans, mais pas faire ressentir ce qu'on éprouve en lisant un yaoi. C'est comme les framboises ou le chocolat : on trouve ça bon, donc on aime en manger. Le yaoi c'est pareil. Mais tout le monde ne trouve pas les framboises bonnes (le chocolat, faut vraiment chercher) et tout le monde ne pourra pas aimer le yaoi.

Sur ces bonnes paroles embrouillées, je m'en vas. Bonne nuit !
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MessageSujet: Re: Yao-hu ?   Yao-hu ? Icon_minitimeDim 3 Juin 2007 - 3:43

Je pense que Freyja et Natth ont fait un bon tour de la question, mais j'ajouterai une dernière chose. Il y a une autre hypothèse avancée pour cet engoument pour le yaoï... Comme le dit Nath, les filles dans les shojos... voilà quoi, et quand on voit que même niaises, idiotes et incroyablement... chiantes, elles arrivent à faire tomber totallement in love le super mec dark bisho qu'en réel si tu le croises dans la rue il te fou un grand vent si t'oses lui faire un sourire ben valà quoi... le Shojo c'est prise de tête, t'as envie que d'une chose... tataniser l'héroïne (non, chui pas violente), d'où cette hypothèse que les fans de yaoï "seraient" (je le mets bien en guillement hein ? Tapez pas !) jalouses de toutes ces héroïnes bidons, bien chiantes (je le répèterais jamais assez) et qu'on a envie de bastonner à grands coups de poing américain. Avec l'apparition d'un Uke, et bien cet effet de jalousie n'a plus lieu d'être... Serait-ce une explication pseudo psycho-analytique mal faite ? j'en sais rien. Mais j'ai souvent entendu ça.
Le yaoï on aime ou on aime pas... perso dans mes copines j'en compte pas des masses qui aiment... elles préfèrent les shojos... (braves filles, elles ne doivent pas connaître la jalousie alors... si on en croit l'hypothèse balancée avant... ^^)
Je ne pense pas qu'il soit possible réellement de répondre à la question posée par ton ami Aphro ^^ (renvoi-lui là question, pourquoi les hommes aiment que deux filles... ^^)
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MessageSujet: Re: Yao-hu ?   Yao-hu ? Icon_minitime

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